J10 Lundi 22 juin 09
Soleil Kmj 118 Xokoan à Dancharia (Ainhoa)
De Donostia à Ainhoa
Balade pédestre sur Erromardie Bidea (le chemin d’Erromardie) dans la matinée avant de déjeuner à la ferme et d’effectuer les traditionnelles opérations de vidange. Nous filons ensuite vers Donostia (San Sebastian) traversée du port et du haut de notre cabine nous découvrons l’agréable bord de mer de cette ville en plein développement. Nous nous posons à Kmj 51 près de l’école polytechnique. Aucun commerce à l’horizon. Je mets un vélo à terre et pars à la recherche d’un bureau de tabacs que je ne trouverais jamais. Cap sur Irun et la Frantzia. Nouvel arrêt et cette fois récupération de cartouches de Malboro pour les deux fumeurs de la famille. Nous décidons d’aborder la montagne destination le village d’Ainhoa. C’est un enchantement, la route est véritablement magnifique et la campagne basque est toute en nuances infinies de verts. L’œil est au repos, accentué il est vrai par les courbes harmonieuses qui bordent le col de l’Ignace. L’âme Basque respire à travers ces paysages sereins et aussi selon le rythme de sa langue immémoriale. « Lien secret et profond » observait Victor Hugo qui « lie par-delà frontières et traités tous les membres de la mystérieuse famille Basque ». 19h15, nous arrivons au camping « Xokoan » à Dancharia, commune de Ainhoa. Particularité de l’endroit, le terrain est délimité par un ruisseau –frontière entre la France et l’Espagne. Deux petits ponts permettent de passer d’un pays à l’autre, nous nous y amuserons après diner. La dame de l’accueil lisant «Granville » sur ma fiche évoque un habitant de Blois qu’elle a connu pendant la guerre et qui avait l’habitude de se rendre chaque année au mois de septembre à la ferme de la grande île de Chausey pour observer les mouvements de marée. Un peu plus loin un CC britannique fait face lui aussi à l’Espagne tandis qu’un couple de Nantais plante sa tente à coté de leur Kangoo verte. Cernés par la verdure luxuriante, nous prenons un…verre.
Soleil Kmj 118 Xokoan à Dancharia (Ainhoa)
De Donostia à Ainhoa
Balade pédestre sur Erromardie Bidea (le chemin d’Erromardie) dans la matinée avant de déjeuner à la ferme et d’effectuer les traditionnelles opérations de vidange. Nous filons ensuite vers Donostia (San Sebastian) traversée du port et du haut de notre cabine nous découvrons l’agréable bord de mer de cette ville en plein développement. Nous nous posons à Kmj 51 près de l’école polytechnique. Aucun commerce à l’horizon. Je mets un vélo à terre et pars à la recherche d’un bureau de tabacs que je ne trouverais jamais. Cap sur Irun et la Frantzia. Nouvel arrêt et cette fois récupération de cartouches de Malboro pour les deux fumeurs de la famille. Nous décidons d’aborder la montagne destination le village d’Ainhoa. C’est un enchantement, la route est véritablement magnifique et la campagne basque est toute en nuances infinies de verts. L’œil est au repos, accentué il est vrai par les courbes harmonieuses qui bordent le col de l’Ignace. L’âme Basque respire à travers ces paysages sereins et aussi selon le rythme de sa langue immémoriale. « Lien secret et profond » observait Victor Hugo qui « lie par-delà frontières et traités tous les membres de la mystérieuse famille Basque ». 19h15, nous arrivons au camping « Xokoan » à Dancharia, commune de Ainhoa. Particularité de l’endroit, le terrain est délimité par un ruisseau –frontière entre la France et l’Espagne. Deux petits ponts permettent de passer d’un pays à l’autre, nous nous y amuserons après diner. La dame de l’accueil lisant «Granville » sur ma fiche évoque un habitant de Blois qu’elle a connu pendant la guerre et qui avait l’habitude de se rendre chaque année au mois de septembre à la ferme de la grande île de Chausey pour observer les mouvements de marée. Un peu plus loin un CC britannique fait face lui aussi à l’Espagne tandis qu’un couple de Nantais plante sa tente à coté de leur Kangoo verte. Cernés par la verdure luxuriante, nous prenons un…verre.
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